Il était une fois, six vaisseaux du handball féminin:

Le Paris Sport Club (PSC), le Paris Handball (PHB), le Paris Université Club (PUC), le Stade Français (SF), Finances (CSMF) et l'Union Sportive Métropolitaine des Transports (USMT).

Tous animés d'un réel esprit de conquête, mais quelque peu affaiblis du fait de leur isolement, ils décidèrent, un soir de juin 2012, d'unir leurs forces et de lancer leurs meilleures athlètes à l'assaut de la plus haute dimension hexagonale, à savoir le Championnat de France -18F.

Nom de code: "Projet Galaxy".


mardi 20 mai 2014

Une 1ère année ponctuée par un 1/4 de finale

Sorties vainqueurs de leur duel de la veille face aux filles de l'Entente Sud 93, nos galaxiennes s'étaient ainsi qualifiées pour un quart de finale face à celles du Blanc-Mesnil. Une nouvelle marche à franchir qui, de toute évidence, était à leur portée. Encore eût-il fallu qu'elles se lancent dans la bataille avec leurs armes habituelles!... car les trente premières minutes du match nous ont offert un bien triste spectacle caractérisé par l'apathie défensive de nos filles. Eh oui, dix-neuf buts encaissés en une mi-temps, un nombre auquel nous nous étions plutôt habitués au terme d'une rencontre! Pire encore... mal défendre ne semblant pas leur suffire, nos galaxiennes se sont tiré une deuxième balle dans le pied en affichant un taux de réussite aux tirs avoisinant les 25%. En un mot: catastrophique. Ainsi, contraintes de combler un retard de six buts à la pause, elles se devaient de réagir dès le premier quart d'heure de la seconde période. Certes, il y eut une réaction leur permettant de revenir à trois longueurs au coup de sifflet final... mais bien trop timide et toujours entachée de nombreux échecs aux tirs pour espérer pouvoir faire trembler des blanc-mesniloises qui jouaient sur leurs terres. Bref, nous avons tout simplement été les témoins d'un "jour sans"... mais qui, en aucune façon, ne nous fera oublier l'investissement et les performances de nos galaxiennes tout au long de cette première saison au niveau national. Eh oui, qui aurait cru qu'en aussi peu de temps et avec aussi peu de moyens, elles figureraient aussi tôt parmi les 24 meilleures escouades de France?

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