Il était une fois, six vaisseaux du handball féminin:

Le Paris Sport Club (PSC), le Paris Handball (PHB), le Paris Université Club (PUC), le Stade Français (SF), Finances (CSMF) et l'Union Sportive Métropolitaine des Transports (USMT).

Tous animés d'un réel esprit de conquête, mais quelque peu affaiblis du fait de leur isolement, ils décidèrent, un soir de juin 2012, d'unir leurs forces et de lancer leurs meilleures athlètes à l'assaut de la plus haute dimension hexagonale, à savoir le Championnat de France -18F.

Nom de code: "Projet Galaxy".


lundi 26 septembre 2016

Une victoire des plus encourageantes


Commençons tout de suite par nous réjouir d'une victoire sur laquelle nous n'aurions pas nécessairement misé! En effet, avec la réception du collectif de la Stella Saint-Maur, nos protégées étaient pleinement conscientes qu'elles auraient fort affaire. Eh bien, la surprise générée par leur performance fut tout simplement à la hauteur de leur méfiance, à savoir énorme!

Que dire des cinquante premières minutes du match, si ce n'est qu'elles furent quasi parfaites?! Nos -18F allaient tout d'abord légèrement faire basculer les débats à l'approche de la 20ème (07-04)... avant de réellement marquer la rencontre de leur empreinte au moment de regagner les vestiaires (16-08), ce qu'elles n'avaient pas su faire à l'occasion de la 1ère journée à Reims. Les saint-mauriennes une premières fois étourdies, il s'agissait alors d'attaquer la seconde période avec autant d'envie et de rigueur... ce qui, ô bonheur, fut le cas! Surfant sur leur réussite offensive et leur application défensive, nos galaxiennes allaient donc "définitivement" assommer leurs adversaires en portant leur avance à seize buts dès la 42ème minute de jeu (27-11). Une domination qu'elles prirent soin de ne pas relâcher jusqu'à la 50ème (30-17), moment à partir duquel elles commencèrent étrangement à "ne plus mettre un pied devant l'autre", à l'image de ce à quoi nous avions assisté en terre rémoise. Ainsi, après avoir subi le joli sursaut des saint-mauriennes, nos protégées n'allaient finalement conclure la rencontre qu'avec six longueurs d'avance (32 à 26).

Oui, mille fois oui, nous sortons de ce week-end heureux... mais tout aussi conscients qu'un tel scénario n'arrive que très rarement. Que cette victoire n'incite donc pas nos protégées à baisser leur garde!

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